Un témoignage bouleversant, cru et nécessaire.

Ce qu’ils ont laissé de moi, c’est l’histoire d’une enfant que l’on n’a pas protégée. Une enfant trop souvent oubliée, enfermée dans des silences, des regards qui fuient, des blessures que personne ne soigne.

Dans ce livre, je raconte ce que j’ai vécu. Les violences physiques, les abus sexuels, la peur comme compagne quotidienne. Je parle des foyers, des couloirs glacés des institutions, de l’injustice, de l’oubli.

Mais ce n’est pas un livre de plainte. C’est un cri. Un besoin vital de mettre des mots sur l’indicible. D’offrir une voix à celles et ceux qu’on n’a jamais entendus.

À travers mes souvenirs, je tends la main : à celles qui ont vécu la même chose, aux lecteurs qui veulent comprendre, à ceux qui refusent que l’on détourne le regard.

C’est un récit difficile, mais aussi habité par une lumière, ténue mais tenace. Celle de la résilience, du courage discret, de la reconstruction. Ce livre existe parce que je suis toujours là. Parce que je refuse que ce passé me définisse.

Ce qu’ils ont laissé de moi, c’est un témoignage intime et universel. Un appel à la justice, à la bienveillance, à la reconnaissance.

Ce n’est pas une fiction. C’est ma vérité. Et je la dépose ici, pour qu’elle résonne, pour qu’elle libère, pour qu’elle éclaire.

À lire avec le cœur. À accueillir avec respect.

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📖 Extrait :

« Ce livre est né d’une nécessité. Pas pour régler des comptes, mais pour rendre justice à l’enfant que j’ai été.
À cette petite fille que personne n’a protégée.
J’ai écrit pour ne plus porter seule ce poids invisible.
Ces pages sont faites d’éclats. De souvenirs fragmentés.
C’est le langage de la mémoire traumatique.
Mais ce livre n’est pas un tombeau. C’est un passage. »

Séverine Mahieux

Bonjour,

Ce qu’ils ont laissé de moi est un témoignage autobiographique brut et sensible. J’y raconte une enfance marquée par la violence, le silence, les foyers.

Ce n’est pas un texte facile, mais il a été écrit avec pudeur et sincérité. Il s’adresse à celles et ceux qui veulent entendre ce que l’on tait trop souvent.

Merci de ne le demander qu’avec bienveillance, et si le sujet vous parle.

Séverine