Vers treize ans, alors que je me remets d'une mauvaise crise d'appendicite, je tombe amoureux pour la première fois... des livres. Jules Vernes, Peter Straub, Stephen King, et surtout, Franz Kafka, Dino Buzzati...
Alors j'écris. Du moins, j'aligne des lettres. Ma dyslexie joue avec leur ordre, me fatigue quand je travaille, rendant mes idées confuses.

En 2006, je cherchais un livre documentaire sur la Formule 1. Mais il n'existait pas. Alors je l'ai écrit.
Il m'a fallu dix ans pour enfin arriver à finaliser« Comparons l'incomparable ». L'objet livre en main... L'émotion... Insidieusement, mes muses se faisaient pressantes et m’ont alors rappelé toutes les histoires que j'avais muselées.
En à peine 9 mois, 39 heurts était prêt pour les dernières relectures.
Comme pour le premier, l’objet livre m'a plu. J'en ai acheté des copies que j’ai offertes. Les retours étaient unanimes... La machine était lancée