Kiahara Nour est convaincue que la force d'un roman réside en ses personnages. Elle met alors son empathie au service de la psychologie et de la multitude des ressentis de l'être humain.
Elle a toujours été en admiration devant le talent de peintre de certains, que ce soit Leonard de Vinci ou des artistes dans la rue. Il se passe tellement de choses dans sa tête qu'elle aurait tant voulu, elle aussi, figer certaines images sur des toiles. Les cacher ou les montrer. En faire ce qu'elle veut, mais les faire sortir.
Et elle a appris une chose qui l’a finalement réconfortée. Par le biais de l’écriture, on peut aussi peindre des visages, dessiner des émotions. On peut également mettre une touche de couleurs sur une toile sombre, ou une tache sombre sur une toile colorée. A travers un clavier, un pinceau, un stylo, on peut faire rire, on peut faire pleurer. On peut surprendre, on peut toucher. Un crayon d'amour, une gomme de regrets.
C'est ça, la force de l'écriture.
Inscrit(e) le 30 juil. 2017 • En ligne le 27 févr. 2019 à 11h21