J’ai été confrontée au monde de la littérature que très tardivement, à la suite d’un drame personnel. C'est à ce moment-là que j'ai décidé de transformer cette épreuve en source de créativité. De là est né le roman Fendus jusqu’à l’âme.
A l’image de Sybille, j’ai puisé dans ma propre détresse pour accomplir quelque chose de constructif. Le suicide utile décrit dans le roman a été imaginé par et pour moi-même. Mais au lieu d’aller jusqu’au bout, j’ai décidé de me tourner vers l’écriture pour le vivre à travers les mots. C’est pourquoi je qualifie aujourd’hui mon premier roman « d’autobiographie imaginée ».
Pour lui donner plus de réalisme, je me suis inspirée de mes nombreux voyages, notamment en Orient. J’ai, entre autres, traversé le désert de Wadi Rum (Jordanie) à cheval.
Je continue de parcourir le monde à la recherche de ce qu’il y a de plus exceptionnel à découvrir, des gens les plus incroyables à rencontrer, et d’avoir les histoires les plus fantastiques à raconter.
Inscrit(e) le 13 août 2018 • En ligne le 4 juin 2020 à 11h15