Charlotte est heureuse. Elle est passionnée, aimée et elle aime en retour bien que ce ne soit pas l'amour familial qu'elle recherche. Au détour d'une promenade, elle croise Gabriel. Ce n'est pas lui qui l'attire, c'est sa machine à écrire. Sans le savoir, ils ont appuyé ensemble sur la touche hasard. La machine s'est emballée.
Après La Fuite, Margaux Moya nous offre un second roman combinant poésie et théâtre. Quand l'innocence se mêle au désir et que la romance se heurte à l'art, l'issue peut être belle - ou imaginaire.
N.B. : LA MACHINE A AIMER n'est pas une romance au sens propre mais une "contre-romance", un genre qui n'existe pas à proprement parler mais que j'invente par le biais de cette histoire.
Vous avez été nombreux à aimer La Fuite, votre enthousiasme a dépassé mes attentes ! J'espère qu'avec ce second roman, totalement différent du premier et quelque peu particulier, vous aurez la joie de retrouver ma plume (ou de la découvrir).
Bonne lecture et merci d'avance,
Margaux.