« Au mois de mars, une épaisse couche de neige recouvrait Sofia. Après quarante-trois heures de train, dans un compartiment non chauffé, j’étais transie lorsque je descendais de l’Orient-Express qui n’était plus le train de luxe des années antérieures. Je ne ressentais pas la joie habituelle lorsque je venais en Bulgarie. Je songeais à mon père. J’avais le cœur lourd…
Je passais mes journées à flâner dans la montagne accompagnée de mon ami de longue date. Il était philologue en langue française et assistant metteur en scène désirant poursuivre des études cinématographiques à Paris, ce qui nous permettrait de vivre ensemble. »
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