«J’ai tué d’avoir aimé.»
Dans son premier roman, Jessica Vieville nous transporte en 1953, au cœur d’un village marqué par les cicatrices de la guerre. Sa plume délicate fait vibrer l’intimité des échanges entre un jeune homme parti au service militaire et deux mères dévastées par un secret inavouable.
Deux histoires d’amour, deux destins qui s’entrecroisent jusqu’au drame.
Récit poignant d’une passion interdite et d’un amour qui bouleverse les générations, ce roman explore les silences de la famille, la puissance des sentiments, et le poids de la mémoire.
Une fresque bouleversante où la tendresse affleure jusque dans la tragédie.
Les premiers lecteurs sont conquis :
«J’ai eu des larmes en le lisant, ce livre est d’une beauté sans nom.»
«Jamais je n’ai ressenti une aussi forte émotion à la fin d’un livre.»
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