CITE PERDUE DES MAYASsorti le 9 mars 2024
Présentation de livre de Mary Lawrence Cité perdue des Mayas.
Cité perdue des Mayas, c'est le neuvième roman de Mary Lawrence, auteure de la troublante série Liens Karmiques, d'une aventurière, une chercheuse, une entrepreneuse avisée. Ce roman est une quête, un voyage entre Paris et Uxmal, une enquête policière et un voyage époustouflant vers une découverte archéologique hors normes.
Cependant cette fois-ci, l'histoire se passera à Paris, de nos jours, en juillet 2023, dans le quartier du 15e arrondissement. Les trois héros de l'histoire se rencontreront par hasard, un jour de la canicule-tueuse, qui entrainera plusieurs morts dans le parc Georges Brassens. Elise, une policière exemplaire, rétrogradée au poste de surveillante municipale, mènera une enquête, à la fois mystérieuse et personnelle. Elle embarquera dans ses recherches ses amis du parc. En cours de route, ils vont la suivre et la surprendre. C'est une course d'intelligences hors pair, le chassé-croisé des manipulations et guet-apens réciproques. Qui va gagner cette course frénétique ?
Mais ce que les héros ne savent pas encore, c'est qu'ils auront à faire à un voyage vers une découverte majeure, une grande investigation écologique et archéologique, mais également vers le précipice de leurs âmes. Une vertigineuse, éternelle quête du Savoir, avec un grand S. Mais aussi une magnifique histoire d'amour. Vont-ils tous survivre ? C'est un mystère. Pour l'instant, même l'auteure du roman ne le sait pas, car...
Aucune note, aucun écrit ne restera de cette découverte. Personne ne saura jamais ce qui s'est passé pendant les 10 jours de la course à l'inconnu. Ils vont emporter avec eux leurs pensées, leurs idées, tout ce qu'ils ont compris et appris. Les gens vont étudier les pyramides, les déchiffrer à leur guise, interpréter selon les coutumes de l'époque. Mais ils ne sauront rien des aventures vécues par les héros de l'histoire. Ils ne resteront à jamais que des aventuriers inconnus. Comme cela arrive souvent. Ceux qui profitent de la lumière ne sont pas nécessairement ceux qui font.